top of page

FCmax, VO2, VMA, VFC : à quoi ça sert ? 🤔

Le sport, c'est l'alliance de la passion, de la détermination et de la science. Que vous soyez athlète d'élite, sportif amateur passionné ou entraîneur assidu, comprendre les rouages de la performance est primordial.

À une époque où l'individualisation et le suivi technologique dominent, comprendre des paramètres tels que la FCmax, la VMA, la VO2max et la VFC est essentiel.


Cet article vous guidera à travers la signification et l'application de ces indicateurs. De la capacité cardio-respiratoire, en passant par la Vitesse Maximale Aérobie, jusqu'à la Variabilité de la Fréquence Cardiaque, chaque concept sera décortiqué et mis en perspective.

Le tout, avec l'expertise d'Ibex outdoor, qui démontre comment technologie et connaissances peuvent personnaliser et optimiser chaque entraînement.


Vous cherchez à allier passion sportive et rigueur scientifique pour optimiser vos performances ? Alors, ce guide est pour vous. Embarquez dans cette lecture enrichissante ! 🏆🏁


Pourquoi la fréquence cardiaque joue-t-elle un rôle central dans l’entraînement ? 💓

En matière d'entraînement sportif, la fréquence cardiaque (ou FC) est un pilier essentiel. Comme une empreinte individuelle, elle témoigne de la réponse unique de chaque athlète à un effort fourni. Influencée par de multiples facteurs comme l'environnement, le niveau de fatigue, l'expertise du coureur, le stress ou encore la nutrition, elle incarne une donnée phare pour l'individualisation de l'entraînement. Chaque sportif possède sa propre FCmax.


Pour guider efficacement l'entraînement, déterminer cette fréquence cardiaque maximale s'avère donc incontournable. Hélas, nombreuses sont les idées reçues, dont la célèbre formule "FCmax = 220 - âge", encore trop usitée à tort. Prenez l'exemple d'un coureur au sein de notre structure : à 27 ans, sa FCmax est de 202 bpm, loin des 193 bpm proposés par cette formule inexacte.


Les autres formules populaires sont aussi fausses. C’est le cas de :

  • (Londeree et col. 1982) FCmax = 206 – 0,7 x age

  • (Gellish et coll. 2007) FCmax = 192-0,007 x age²


Seuls des tests de terrain, comme le Cooper, le ½ Cooper ou le VAMEVAL, réalisés avec une ceinture cardio fréquencemètre sont pertinents.

C’est aussi le cas pour les tests d'efforts en laboratoire qui apportent une mesure fiable.


Mais alors quelle utilisation faire de la FCmax ? 🔎


En se basant sur la FCmax, il est possible de structurer l’entraînement autour de zones cardiaques précises, offrant une réponse adaptée à chaque profil d'athlète.

Dans un modèle à 5 zones cardiaques, la construction et l’analyse de l’entraînement s'articulent autour des deux seuils ventilatoires : SV1 et SV2. Comme évoqué dans un précédent article sur le premier seuil ventilatoire, nous validons l’intérêt de choisir le modèle à 5 zones du docteur français Frédéric Grappe, spécialiste en biomécanique et physiologie de l’entraînement sportif, dans le but de construire et de suivre l’entraînement d’un athlète d’endurance. En effet, contrairement au modèle suédois de Juha Karvonen, il présente la particularité de ne demander que la connaissance de la fréquence cardiaque maximum (FC max), pour orienter le travail spécifique selon 5 zones cardiaques :


  • La zone 1 ou endurance fondamentale, pour des séances réalisées sous 75% de la FCmax

  • La zone 2 ou endurance active, pour des exercices faits entre 75% et 85% de la FCmax

  • La zone 3 ou tempo, pour des intensités plus prononcées au-dessus de SV1 entre 85% et 92% de la FCmax

  • La zone 4 ou seuil, pour des exercices intenses aux alentours de SV2 exécutés entre 92% et 96% de la FCmax

  • La zone 5 associée à la VMA à plat ou ascensionnelle, proche de VO2 max, pour des séances très intenses effectuées au-dessus de SV2


Et, alors que nous plongeons dans ces zones d'effort, une question se pose naturellement : comment se compare la fréquence cardiaque à la capacité d'absorption d'oxygène de notre corps? Découvrons ensemble la corrélation entre volume d’oxygène et VO2max dans le prochain paragraphe. 🔄


Quelle est la corrélation entre volume d’oxygène et VO2max ? 🔄

Le VO2max, souvent évoqué dans les cercles d'entraînement sportif, représente la consommation maximale d'oxygène qu'un athlète peut utiliser en une minute, c’est un débit. Il s'agit d'une mesure de volume, et non d'une vitesse, ce qui contraste avec une idée reçue largement répandue qui associe, de manière erronée, VMA et VO2max.


Pour le dire simplement :


VO2max = Q x (a - v O2 difference)


Cette équation nous montre que VO2max résulte de la multiplication du débit cardiaque par la différence d'oxygène entre le sang oxygéné et le sang désoxygéné.

Mais que signifie cette équation pour l'athlète moyen ?

Prenons un moment pour décortiquer.


La capacité du cœur à pomper le sang - et donc l'oxygène - vers les muscles est centrale. En clair, un cœur bien entraîné, puissant, peut efficacement fournir le carburant nécessaire aux muscles lors d'efforts intenses. Pour optimiser cette capacité, il est essentiel que le volume du réservoir cardiaque et la vitesse à laquelle il éjecte le sang (c'est-à-dire la fréquence cardiaque) soient les meilleures possibles.


En parlant de performance, les athlètes de haut niveau possèdent souvent les VO2max les plus élevés, confirmant le rôle de cette mesure en tant qu'indicateur clé de la performance sportive. Attention toutefois, plus l’épreuve est longue, moins VO2max est important, au profit de l’économie… C’est le cas d’un ultra trailer. Là où les plus grosses VO2 sont observées chez les athlètes de demi-fond, qui à l’inverse sont moins économes.


Alors, comment un sportif peut-il travailler sur son VO2 ? Contrairement à ce que l'on pourrait penser, il n'est pas nécessaire de se concentrer uniquement sur la VMA. Travailler à son second seuil (SV2) pendant une période prolongée conduit toujours à solliciter VO2max si l’intensité est tenue suffisamment longtemps. Mais il convient de noter que le VO2max et la VMA, bien que liés, possèdent des nuances qu'il est essentiel de comprendre pour personnaliser et individualiser l'entraînement.


Il faut toujours analyser quelle stratégie d’entraînement est la plus efficace dans le but de développer des qualités nécessaires à la finalité de l’objectif.

C’est le constat partagé par nos entraîneurs au sein de la structure.


Cette interaction entre VO2 et performance nous amène à une interrogation cruciale : si la VMA n'est pas toujours le reflet direct de la VO2max, comment alors définir sa VMA et l'utiliser comme levier de progression? Cette question mérite une attention particulière, et c'est ce que nous aborderons dans la prochaine section. 📈


Quelle(s) méthode(s) pour définir sa VMA et s’en servir pour progresser ? 📈

Le monde du sport est vaste, complexe, mais surtout passionnant. Chaque athlète, qu'il soit amateur ou professionnel, cherche constamment à repousser ses limites. Et parmi les termes que l'on entend régulièrement dans le milieu sportif, la VMA (Vitesse Maximale Aérobie) se démarque. Elle est, en quelque sorte, le graal de l'athlète. Mais qu'est-ce que la VMA ? Comment la déterminer et comment l'utiliser pour favoriser une progression optimale ? Voici tout ce que vous devez savoir pour maîtriser cet outil et personnaliser votre entraînement.


1. La VMA : Le pionnier de la performance athlétique ⛏️


La VMA représente la plus petite vitesse à laquelle un athlète atteint son VO2max, c'est-à-dire sa consommation maximale d'oxygène par minute. Cette nuance est fondamentale : le VO2max est un débit, pas une vitesse. Dans le monde de l'entraînement sportif, comprendre cette distinction est essentiel pour personnaliser son suivi et favoriser sa progression.


2. Mesurer la VMA : Les méthodes scientifiques à la portée de tous 🧪

  • Les tests en laboratoire : L'idéal est de se rendre dans un laboratoire équipé pour un test avec recueil des gaz respiratoires. C'est la méthode la plus précise pour déterminer votre VMA. Elle vous offre un regard détaillé, quasi scientifique, sur votre performance athlétique.


  • Les tests sur le terrain : Mais nul besoin d'être un athlète olympique pour déterminer sa VMA. Ces tests peuvent aussi s'effectuer en extérieur, sur une piste d'athlétisme ou en pente pour la VMAa (Vitesse Maximale Aérobie ascensionnelle). L'utilisation d'équipements avancés, comme un masque d'analyse des gaz, améliore la précision des résultats.

Mais avec une simple montre sportive et une ceinture cardiaque, on peut déjà obtenir des estimations fiables sur la VMA notamment, et sur une approximation de FCmax et par extension de VO2max, même si c’est à prendre avec des pincettes.


3. Les tests recommandés pour chaque athlète ⏱️


  • Le ½ Cooper : Un classique ! Sur une piste, le défi est de parcourir la plus grande distance en 6 minutes. Après un protocole d'échauffement de 20 minutes, vous courez intensément pendant 6 minutes, suivi d'une phase de récupération. La distance parcourue, multipliée par 10, vous donne votre VMA. C'est simple et efficace.


  • Le test Vameval : Il s'agit d'un test progressif au rythme d'une bande son. Après un échauffement, vous devez suivre une progression de vitesse imposée jusqu'à l'épuisement. C'est un excellent moyen d'évaluer non seulement la VMA mais aussi votre endurance, votre mental et FCmax.


  • Le test de course navette de Léger : Similaire au Vameval mais avec des paliers de vitesse distincts. C'est un autre moyen efficace et largement reconnu pour évaluer la VMA sur le terrain.


4. Comment s'entraîner en utilisant la VMA ?


La VMA est la composante rapide du VO2. Autrement dit, c'est la vitesse à laquelle vous atteignez votre VO2max le plus rapidement. Toutefois, se concentrer uniquement sur la VMA serait une erreur. L'entraînement doit être diversifié, alliant travail à haute intensité et efforts plus longs pour solliciter le VO2max.

Il est également crucial d'intégrer la notion de second seuil ventilatoire. En travaillant dans la zone 4 cardiaque par exemple, autour du SV2, on peut atteindre le VO2max et ainsi développer sa capacité cardiorespiratoire. L'individualisation et la personnalisation de l'entraînement sont donc essentielles.


En conclusion, pour tout athlète ou entraîneur souhaitant optimiser son entraînement, la compréhension de la VMA est cruciale. Elle offre une vision claire de la performance athlétique et guide la progression. Mais souvenez-vous que la VMA n'est qu'une pièce du puzzle, pas une finalité ! Surtout pour les athlètes d’ultra endurance...

L'individualisation, la personnalisation et un suivi régulier sont les clés pour tirer le meilleur de chaque séance d'entraînement.

Et pour les plus curieux, restez à l'affût : nous explorerons prochainement la VFC, une autre mesure essentielle dans le monde de la performance sportive.


Comment la VFC peut-elle nous renseigner sur notre état de forme ? 📊

La VFC, pour Variation de la Fréquence Cardiaque, offre une fenêtre fascinante sur les nuances de notre rythme cardiaque. À première vue, la fréquence cardiaque peut sembler régulière, mais à y regarder de près, elle est loin de l’être.


Prenons un exemple simple pour comprendre cela : imaginez que vous ayez une fréquence cardiaque de 120 battements par minute. À première vue, cela équivaut à 2 battements par seconde. Cependant, si l'on examine minutieusement ces battements, certains pourraient survenir après 0,4 seconde, d'autres après 0,6 seconde, et certains précisément à la demie seconde.

En illustrant cet exemple : sur cinq intervalles donnés, la période moyenne est de 774,4 ms, ce qui équivaut à une fréquence cardiaque de 77 bpm. La période entre les deux premiers battements est de 754 ms, montrant une variation de 20 ms par rapport à la moyenne.



Il est crucial de distinguer cette variation de la fluctuation quotidienne de la fréquence cardiaque au repos, souvent utilisée par les sportifs pour évaluer leur état de forme dès le réveil. Une fréquence cardiaque plus basse le matin indique généralement une meilleure forme physique.


La magie de la VFC réside dans son pouvoir de révéler notre état de récupération en mesurant avec précision le système nerveux autonome (ANS en anglais) grâce à la balance entre le système nerveux sympathique et parasympathique. Une VFC élevée, traduite par de grandes variations entre chaque battement, indique une adaptation réussie du système nerveux, et souvent une meilleure performance athlétique.

Inversement, une faible VFC peut être le signe d'une fatigue accrue ou d'un stress élevé, qu'il soit émotionnel, physique ou dû à une charge d'entraînement excessive. En revanche, une VFC élevée suggère généralement que tout est en ordre: le stress est géré, l'entraînement est bien équilibré et le corps se sent reposé.


Le réel potentiel de la VFC (ou HRV en anglais) est d'agir comme un baromètre du bien-être d'un athlète tout au long d'un cycle d'entraînement. Elle permet d'analyser comment l'athlète réagit à divers facteurs de stress, qu'ils soient liés à l'entraînement, au mode de vie, à l'environnement ou à la santé mentale.


Cependant, il est crucial de comprendre que la VFC est spécifique à chaque individu. Elle ne doit donc pas être comparée entre différents athlètes, mais plutôt analysée sur une période donnée pour identifier des tendances. Si la VFC d'un athlète commence à diminuer, il peut être nécessaire d'ajuster certains éléments de sa routine, qu'il s'agisse de :


  • l'entraînement ⏱️

(charge trop importante ? Fatigue chronique ?)

  • la santé mentale 🧠

(contraintes familiales récentes ? Charge professionnelle excessive ?)

  • le sommeil 💤

(heures de coucher régulière ? Nuits pas complètes ?

  • la nutrition 🍎

  • etc…


Il est toutefois important de noter qu’il vaut mieux moduler les paramètres un à un afin de définir la cause d’une VFC basse plutôt que de tout vouloir changer.



Comment ces mesures s'interconnectent pour individualiser l’entraînement ? 🎯

L'ère moderne du sport et de l'entraînement se caractérise par une combinaison habile de science, de technologie et d'une approche individualisée. Dans notre exploration du monde de la performance sportive, des termes tels que FCmax, VO2max, VMA ou VFC ont émergé comme des éléments clés pour quiconque cherchent à optimiser ses capacités athlétiques. Mais comment toutes ces mesures s'articulent-elles pour forger l'avenir de l'entraînement sportif individualisé ?


1. Une compréhension intégrée pour une performance optimale 💡


Lorsque nous parlons de performance sportive, il est facile de se perdre dans les détails et les chiffres. Mais c'est en unissant ces différents indicateurs que nous obtenons une image complète de la condition d'un athlète. Prenons l'exemple du VO2max : il mesure la capacité du corps à utiliser l'oxygène pendant l'exercice. C'est un indicateur fondamental de la condition cardiovasculaire. Cependant, si l'on se base uniquement sur cette mesure, on pourrait passer à côté de la véritable capacité de vitesse d'un athlète. C'est là qu'intervient la VMA, ou Vitesse Maximale Aérobie. Elle donne une idée précise de la vitesse maximale qu'un athlète peut atteindre en sollicitant son VO2max. Ensuite, nous avons la VFC, qui nous informe sur la variabilité de la fréquence cardiaque et est souvent considérée comme un indicateur de fatigue et de récupération.


Pour le mettre en contexte, imaginons deux athlètes, Alice et Louis. Alice pourrait avoir un VO2max plus élevé que Louis, ce qui suggère qu'elle a une meilleure condition cardiovasculaire. Cependant, si Louis a une VMA plus élevée, cela pourrait signifier qu'il peut courir à une vitesse maximale plus élevée pendant une période prolongée par rapport à Alice. Si nous ajoutons la VFC dans le mélange, Alice pourrait avoir une meilleure récupération que Louis, malgré une VMA plus basse. Sans une compréhension intégrée de ces mesures, il serait facile de mal interpréter les forces et faiblesses des athlètes.


Ainsi, en intégrant ces trois mesures, nous obtenons une image complète qui nous permet de comprendre les spécificités de chaque athlète. Cela devient la pierre angulaire d'un entraînement réussi, car il permet de créer des programmes adaptés aux besoins et aux forces uniques de chaque individu.



2. L'individualisation est la clé 🗝️


Dans le sport, la "taille unique" n'existe pas. Deux athlètes peuvent avoir des VO2max similaires, mais des VMA ou des VFC radicalement différents. C'est pourquoi la personnalisation de l'entraînement est cruciale. Chez Ibex outdoor, nous nous efforçons de décoder ces mesures pour vous offrir un programme d'entraînement sur mesure, adapté à vos besoins, à votre condition physique et à vos objectifs.


3. Le potentiel du suivi technologique 🖥️


Nous vivons à une époque où la technologie offre des opportunités sans précédent pour améliorer la performance sportive. Au cœur de cette révolution se trouvent des outils qui permettent un suivi précis et en temps réel de divers paramètres physiologiques. C’est pourquoi nous avons fait le choix de Nolio.


Le progrès technologique dans le domaine sportif n'est pas uniquement lié à l'élaboration de chaussures plus légères ou de textiles plus performants. Il s'agit également d'outils de mesure et d'analyse. Les ceintures cardiofréquencemètres ou les montres connectées : elles transforment des données brutes, comme la fréquence cardiaque, en informations exploitables qui peuvent orienter et affiner les entraînements.

Prenons l'exemple d'un sportif qui utilise une montre connectée pour suivre sa VMA. En combinant cette information avec les données de sa VO2max, il peut obtenir des retours pertinents sur ses zones de travail, sa capacité d'endurance et ses limites. De plus, en intégrant des analyses de VFC, cet athlète peut avoir une vision claire de sa récupération, et ainsi, éviter le surentraînement.


Mais ce n'est pas tout. Le potentiel du suivi technologique va au-delà de la simple collecte de données. Ces outils offrent la possibilité d'avoir des retours instantanés, permettant aux athlètes et aux entraîneurs d'ajuster les programmes en temps réel. Imaginez ajuster l'intensité d'une séance en fonction des retours de votre montre sur votre état de récupération du jour.


Enfin, la technologie ouvre la voie à une individualisation accrue des programmes d'entraînement. Comme le souligne notre approche, chez Ibex outdoor, chaque athlète est unique, et la technologie nous aide à traduire cette unicité en plans d'entraînement sur mesure, optimisant les chances de progression et de performance.


4. S'engager pour l'excellence 🚀


La route vers l'excellence athlétique est pavée d'efforts, de détermination et, surtout, de connaissances. Nos suivis ne se contentent pas de vous offrir un plan d'entraînement. Ils vous fournissent une compréhension, une stratégie et un partenariat pour vous aider à atteindre votre potentiel maximal.


En conclusion, les mesures que nous avons étudiées ne sont pas de simples chiffres; ce sont des outils, des indicateurs de votre parcours. Ils vous guident, vous informent et, avec le bon accompagnement, vous propulsent vers la réalisation de vos aspirations sportives.


Chez Ibex, nous croyons fermement que chaque athlète est unique. C'est pourquoi nous sommes là pour vous aider, vous guider et vous entraîner à chaque étape de votre voyage vers l'excellence.


 

Ibex compte aujourd'hui une équipe composée de 8 entraîneurs et 1 diététicienne nutritionniste, toutes et tous diplômés, spécialisés et passionnés par les sports outdoor d'endurance. Qu'il s'agisse d'un trail de 12km, d'un 100 miles ou encore d'une traversée à vélo, nous aurons plaisir à vous accompagner dans votre préparation et ce quelque soit votre niveau et vos objectifs.


Nous vous proposons un suivi à distance, adapté à votre vie personnelle et professionnelle, le tout, en adéquation avec vos objectifs.



Simon, Lucie et Vincent, membres d'Ibex outdoor



bottom of page