Marseille-Napoli : la préparation ultra cyclisme d’Alexis Ducrocq 🇮🇹
- Simon Tissier
- 14 oct.
- 3 min de lecture
Sur les 1 000 kilomètres séparant Marseille de Naples, Alexis Ducrocq s’est offert un condensé de tout ce qui fait l’essence de l’ultra-cyclisme : l’endurance, la gestion, le mental et la maîtrise.
Après une 15ᵉ place obtenue sur cette épreuve exigeante, il signe sa plus belle performance à ce jour — et prouve qu’une préparation structurée change tout.
Bienvenue sur le blog d'Ibex outdoor, agence spécialisée dans l'entraînement en sports d'endurance
Un entraînement construit par un coach professionnel sélectionné avec soin, pour vous accompagner dans votre quotidien de sportif.
Une revanche personnelle sur la distance 🌿
« Sur cette Marseille-Napoli, l’objectif était de la boucler en 3 jours et 7 heures. »
L’année précédente, Alexis avait terminé la Desertus Bikus en 3 jours et 22 heures, une aventure plus conviviale que compétitive.Cette fois, le cadre était clair : optimiser chaque détail pour découvrir son plein potentiel sur un ultra de plus de 1 000 km.
Mais derrière ce défi sportif se cache aussi une étape personnelle importante. « Je suis dans une période de transition professionnelle qui me donne le temps de m’entraîner sérieusement, pour voir jusqu’où je peux pousser.»
Une occasion unique de tout mettre en œuvre pour progresser, tester, et repousser les limites avec méthode.
Une préparation ultra cyclisme millimétrée avec Ibex outdoor ⚙️
C’est avec Léo, coach Ibex outdoor, qu’Alexis a structuré sa préparation. « L’accompagnement a commencé récemment, mais il a été décisif. Ça m’a permis de faire mes plus grosses semaines sans me poser de questions sur la structure ni tomber dans la routine. »
L’objectif : enchaîner deux blocs très rapprochés — l’Ultra Spirit (100 km trail en 3 jours) et la Marseille-Napoli — sans s’épuiser.Un défi typique de l’ultra-endurance : gérer la récupération, maintenir la fraîcheur et ajuster la charge en un temps record.
« Léo m’a aidé à gérer l’affûtage sur un temps court et m’a donné beaucoup de confiance. »
Et c’est là toute la force d’une bonne préparation ultra cyclisme : savoir ralentir au bon moment pour performer quand il le faut.Au-delà de la forme physique, c’est surtout la confiance qui s’est construite.
« Suivre un plan m’a fait me sentir plus légitime, plus audacieux. Je savais que j’étais prêt. »
Quand la régularité rencontre la performance 🔁
Sur l’ultra, chaque jour raconte une histoire différente.Mais pour Alexis, c’est le dernier jour qui symbolise le mieux le travail accompli. « C’est le quatrième jour que j’ai senti le beau travail effectué sur la filière endurance : aucune baisse de forme, de très bonnes jambes jusqu’au bout. »
Cette résistance dans la durée, fruit d’une planification intelligente, lui a permis de terminer fort, là où beaucoup subissent la lassitude ou la fatigue.Un signe que la progression n’est plus seulement physique, mais aussi mentale.
Entre intensité et émotions 🚦
« L’ultra-cyclisme, c’est un maelstrom d’émotions. Tout est plus intense. » Alexis en garde des souvenirs précis, presque cinématographiques :le coucher de soleil sur le col de Turini, la galère mécanique résolue in extremis dans les Strade Bianche, ou encore la triple traversée de Naples pour recharger son Di2 avant d’attaquer le Vésuve.
Des images fortes, typiques de ces courses où chaque minute compte, mais où l’humain reste au centre.
Et maintenant ? Direction la Desertus Bikus 2026 🌵
Après cette 15ᵉ place, Alexis regarde déjà vers l’avenir. « Le prochain objectif, c’est la Desertus Bikus 2026. J’aimerais confirmer cette progression. »
Le cadre est posé : même exigence, même rigueur, et toujours la recherche du bon équilibre entre charge, plaisir et performance.
Construire sa préparation ultra cyclisme avec Ibex outdoor
Chez Ibex outdoor, chaque préparation ultra cyclisme repose sur une logique simple : équilibre, anticipation et confiance.
Commentaires