SaintExpress : le baptême nocturne de Martin Aubrée 🌙
- Ibex outdoor
- il y a 4 jours
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Il y a des courses qui ne sont pas prévues, puis qui finissent par prendre une place énorme dans une saison. Pour Martin Aubrée, la SaintExpress a d’abord été une idée un peu folle, un projet qui n’entrait dans aucun plan… avant de devenir l’événement qui allait clore sa première année de trail de la plus belle des manières.
Après des mois à changer de ville, une installation récente à Lyon et un début dans le trail marqué par un beau Tour du Néouvielle sur le GRP, Martin pensait ranger les dossards pour l’année.Puis la SaintExpress est entrée dans la conversation. Et elle n’en est plus sortie.
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Un entraînement construit par un coach professionnel sélectionné avec soin, pour vous accompagner dans votre quotidien de sportif.
Un objectif qui n’était pas prévu… mais qui s’est imposé tout seul 🎯
À l'origine, la SaintExpress n’était pas dans les plans. Mais vivre à Lyon et ignorer cette course mythique, c’est presque impossible. Lorsque Martin apprend que l’épreuve est complète, il ne renonce pas. Au contraire, il se met en quête d’un dossard — une démarche qui symbolise parfaitement son état d’esprit de débutant passionné : volontaire, déterminé, un peu instinctif.
Avec son coach Quentin, ils prennent rapidement une décision audacieuse : commencer la préparation même sans dossard.Un pari. Une motivation supplémentaire. Et un mois avant le départ, le précieux sésame arrive enfin.
Ce sera donc :• Premier automne en Rhône-Alpes.• Première vraie nocturne.• Première SaintExpress.• Dernier défi d’une première saison de trail étonnamment dense.
« C’est ma première saison de trail, je suis encore un rookie. Mais je voulais me tester rapidement sur une épreuve qui me sort totalement de ma zone de confort. »La motivation était trouvée.
SaintExpress : une préparation construite sur la progression, la confiance et le réalisme 🧭
Inscrire la SaintExpress comme dernier rendez-vous de l’année impliquait forcément de composer avec la fatigue accumulée, la reprise post-GRP et une maîtrise encore fragile des descentes. Quentin ajuste donc la préparation avec attention : du spécifique, du rythme, du travail musculaire… et surtout des descentes.
Un point faible clairement identifié.
Un point faible à travailler.
Et sur une course aussi roulante que la SaintExpress — où les descentes se courent plus qu’elles ne se subissent — c’est souvent un facteur décisif.
« Quentin m’a mis des séances spécifiques pour cette course. On a aussi mis l’accent sur les descentes, car c’est mon gros point faible, et c’est game changer sur la SaintExpress. »
L’accompagnement Ibex outdoor joue son rôle habituel :• moins de charge mentale,• plus de structure,• un cadre qui sécurise,• une motivation renforcée,• et surtout, la sensation de ne jamais avancer seul.
Martin découvre ce que tous les athlètes ressentent la première année : la force d’un suivi qui stabilise tout un projet sportif.
Jour J : entre excitation, repères et premiers signes que la préparation fonctionne 🌌
Le départ de la SaintExpress est un moment à part. Les lumières, les frontales, la foule, le bruit sourd des chaussures dans la nuit… c’est une ambiance qui marque profondément les coureurs, surtout lorsqu’ils vivent leur première nocturne.
Martin s’élance avec la prudence de ceux qui savent respectent l’événement, mais aussi avec l’envie sincère de voir jusqu’où il peut pousser ce qu’il a appris en quelques mois.
Le vrai déclic intervient à mi-course, à Soucieu.Les jambes répondent encore, la respiration reste fluide, l’allure est stable.
« À Soucieu, j’ai retrouvé mes proches et je me sentais bien, encore assez en forme pour garder la même intensité sur les prochains kilomètres. Là, je me suis dit que la préparation portait ses fruits. »
Les crampes viennent assez vite lui rappeler que la SaintExpress reste ce qu’elle est : une course exigeante, roulante, piégeuse, où les quadriceps sont jugés sans pitié. Mais contrairement à ce qu’il aurait vécu quelques mois plus tôt, Martin tient, relance, avance.
Le travail sur les descentes porte ses premiers fruits :elles ne sont pas « faciles », mais elles ne sont plus un frein.Un pas décisif vers une progression qu’il sait durable.
Une première SaintExpress pleine d’émotions et riche de sens ✨
Il y a les performances. Et puis il y a les expériences qui construisent l’athlète.
Pour Martin, la SaintExpress appartient clairement à la deuxième catégorie.
La ferveur sur les bords du parcours.Le soutien des proches.L’enchaînement des lumières dans la nuit. La découverte de la ville qui devient son nouveau terrain de jeu. Et cette impression d’avoir vécu un moment plus grand que lui.
« C’était le clap de fin de ma première saison de trail, et je suis fier de ce que j’ai réussi à faire ! »
Cette course devient un symbole.Le marqueur d’une transition.Le point final d’une première saison… et le point de départ d’une autre.
La suite : monter en distance, monter en ambition, monter en confiance 🚀
L’envie est désormais clairement formulée : passer sur 80 km dès 2026.
Et Martin ne fait pas les choses à moitié :• Trail du Saint-Jacques (juin 2026)• Boréalys au Québec (août 2026)Deux épreuves exigeantes, magnifiques, complètement cohérentes avec ses envies de progression.
Et puis, dans un sourire, une idée qui revient déjà :
« Et si le corps en est capable, pourquoi ne pas revenir pour l'épreuve mythique : la SaintéLyon ? »
Structurer sa préparation avec Ibex outdoor
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